Bilan carbone des ports : retour d'expérience de La Rochelle et Toulon

Le Bilan Carbone®, outil développé par l'ADEME (Agende de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie) permet de mesurer et suivre la quantité de gaz à effet de serre produit du fait de l'activité de l'organisation pour laquelle il est établi. Plusieurs gaz (le dioxyde de carbone ou CO2, le méthane, le protoxyde d'azote, les hydrofluorocarbures, les per fluorocarbures et l'hexafluorure de soufre) sont ainsi mesurés et identifiés dans l'optique de mieux cibler des actions de réduction pour en réduire les émissions.

Les entreprises de plus de 500 personnes et les administrations ont l'obligation de réaliser, tous les 3 ou 4 ans, un bilan carbone , et un plan d'actions volontaires pour réduire leurs émissions. La démarche peut aussi être volontaire.

Deux ports, le Port de Plaisance de La Rochelle, et la métropole Toulon Métropole ont réalisé un bilan carbone.

Quelle a été la méthodologie de calcul pour ces ports ? Se sont-ils inspiré ou totalement appuyé sur la méthode ADEME du Bilan Carbone® ? Quels sont les résultats ? Comment en définir un point zéro de référence ? Quelles sont les perspectives de plan d'actions pour limiter les gaz produits ainsi identifiés ? Quels acteurs et partenaires ce plan d'actions engage-t-il ? Comment conseiller d'autres ports qui souhaiteraient engager la démarche ?

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